Dix-neuf inscrits sur les tablettes de l’Automobile club de l’Ouest cette année-là. Charles Faroux et ses collaborateurs s’inquiètent de la désaffection des constructeurs. Certes l'effervescence de ces années folles, ainsi nommées par les historiens, engendre une course effrénée à la production. Les marques ont autre chose à faire qu’à dépêcher des équipes sur le circuit des 24 Heures pour défier des adversaires. Une alternative se présente : accepter et encourager les initiatives privées.