J’ai assisté pendant environ huit ans au GP de Rouen les Essarts dans les années 70 et début 80. J’habitais à cinquante km du relais.
Le circuit normand était ma destination la plus proche. Dire qu’on appréciait son cadre, son ambiance était un euphémisme. Si sa descente représentait certainement un morceau de bravoure pour les pilotes, elle tenait du régal pour les spectateurs...