Depuis 2000, l’équipe officielle Audi (Bentley en 2003 avec un moteur Audi) écrase l’épreuve mancelle. La puissance de la formation dans son organisation et la conception des R8 puis R10 pétrifie la concurrence. L’enjeu sportif manque de piment, qui peut battre la firme allemande ?…Personne malgré les efforts de leurs adversaires… Peu motivé, je zappe et n’effectue pas les déplacements mais …
SdS Carnets 24 Heures du Mans - Page 2
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24 Heures du Mans 2004 ( 12-13 juin)
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24 Heures du Mans 1998 / 6 - 7 juin
Après avoir fait l'impasse sur les épreuves 96 et 97 où les Courage françaises rivalisèrent de malchance face aux protos Joest à moteur Porsche, retour en 98 où la course promettait avec en lisse les autos officielles de Porsche, Mercedes, Toyota et Nissan...
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24 Heures du Mans 1995 / 17 - 18 juin
Certaines années au Mans sont placées sous l’empire des éléments, la pluie est un paramètre capable de modifier parfois considérablement la donne. D’aucuns peuvent y puiser l’opportunité d’un succès qui n’aurait pu voir le jour lors de circonstances climatiques plus conventionnelles au mois de juin dans la Sarthe.
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24 Heures du Mans 1994 / 19 – 20 juin
Une édition estivale en 1994, le soleil ne nous quitta pas. Certains spectateurs anglais, pratiquant le torse nu dans l'enceinte spectateurs, méritèrent leur surnom de « Rosbif » en fin de course au vu de l’action des UV sur leur peau de nordique.
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24 Heures du Mans 1993 / 19 - 20 juin
Peugeot fort de sa victoire en 92 où j’avais fait l’impasse sur les 24 Heures, remet son titre en jeu en 93...
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24 Heures du Mans 1991 / 22 - 23 juin
Deux exclusivités lors de ces 24 heures : les nouveaux stands que nous découvrons, massifs avec l’imposante tour de contrôle et la toute récente 905 Peugeot , équipage vedette : Rosberg-Dalmas-Raphanel .
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24 Heures du Mans 1990 / 16 - 17 juin
En 1990 l’ACO inaugure deux chicanes dans les Hunaudières. La sécurité y gagne, plus de pointe à 400 km/h aux essais... C’est la fin de la mythique ligne droite.
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24 Heures du Mans 1989 / 10 - 11 juin
Une bataille triangulaire s’annonce pour ces 24 Heures, l’équipe Sauber Mercedes s’est particulièrement renforcée (trois voitures). Elle exhibe du lourd sous ses couleurs argent : un V8 de 5 litres turbocompressé, une carrosserie trapue qui chapote tout cela, l’ensemble fait penser au rouleau compresseur vis à vis de la concurrence. Les Jaguar semblent bien fluettes mais nous régalent toujours l’ouïe au son strident de son V12 atmo. Des écuries privées engagent la Porsche 962, un peu vieillissante mais valeur sûre, notamment celles de l’équipe Joest de solide réputation.
Au baisser du drapeau, la Mercedes 61 prend la tête pour l’abandonner rapidement à la Jaguar n°3 qui fait office de lièvre dans l’équipe puis la Porsche 9 du Joest racing prend le relai, menant une belle cadence . Visiblement Mercedes est sur la réserve, se bornant à suivre scrupuleusement son tableau de marche en semblant attendre son heure.
Après un sursaut d’honneur de la Jaguar n°1 de Lammers-Tambay-Gilbert-Scott, Mercedes affirme son hégémonie avec l’équipage 63 Mass-Reuter-Dickens qui accélère le rythme et domine le dernier tiers de course. L’équipe germano-helvétique enfonce le clou en plaçant sa deuxième voiture en seconde position, la troisième revenant à la valeureuse Porsche Joest n°9 de Stuck-Wolleck, vieux briscards du Mans. Après la course, nous déambulons côté stands. En contournant vers la chicane, nous tombons sur le parc fermés où la vision des bolides rescapés, délaissés, sales, encore chauds et portant les stigmates de leur combat nous peine un peu. Respect pour les bolides, les honneurs, les podiums sont faits de chair à l’exclusion de toute autre matière.
SdS
Photos : DR / 1 : Sauber Mercedes - Porsche / 2 : Jaguar
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24 Heures du Mans 1988 / 11 - 12 juin
Départ de Mansell à l'issue de la saison 92, retraite d'Alain Prost fin 93, disparition de Senna en 94, la Formule 1 nous semble terriblement orpheline. A partir de 1995 notre motivation migre du côté des 24 H du Mans qui nous ont attirés sur le terrain depuis 1988...