PS prend un peu de recul pour une pause estivale , bonnes vacances à tous ... A bientôt! Photo : DR
Post & Scriptum - Page 14
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Pause estivale
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Mythiques 917 #2 à relire
La Porsche 917 a été élue « voiture de course du vingtième siècle », belle carte de visite ! Cela vaut bien de s’attarder sur quelques valeureux spécimens !...
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Mythique 917 #1 à relire
En 1968 Porsche fait courir en endurance son prototype 3 litres 908 version capot arrière court ou long pour les circuits rapides type Le Mans. Homogène, propulsée par un moteur V8 puissant dont la plage d’utilisation satisfait tous ses pilotes, cette auto remporte des courses. Pour Porsche le problème vient du fait que le championnat du monde des marques admet aussi les voitures type sport pouvant accueillir des moteurs de 5000cm3(5 litres) de cylindrée. Parmi elles on compte les Lola T70 et les Ford GT 40...
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Kate (66 Road) à relire
La jolie Kate aime les défis : voici l’un d’entre eux :
parcourir la célèbre route 66 sur son Harley mais
sans culotte !
Elle prit quelques précautions pour réaliser son périple :
se faire accompagner par trois potes fondus de la marque avec la carrure qui convient...
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Tel le Phénix / à relire
Par un frais matin printanier de 2006, deux recrues d'une base aérienne observent un engin bizarre. Il semblerait qu'il s'agisse d'une automobile campée sur ses quatre roues...
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Ligier JS1 l'auto des deux frères
Jo Schlesser et Guy Ligier étaient des frères de course. L’idée de développer et de commercialiser une voiture de sport germa petit à petit dans leur esprit. A force de dévorer les kilomètres au volant de toutes sortes de bolides, de ressentir les défauts, les qualités des engins qu’ils pilotaient, les deux compères engrangèrent dans leur subconscient un cahier des charges idéal. Devait en sortir la concrétisation d’un projet qui leur tenait à cœur.
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Compression...
Compression de César ?.... Non, de Patrick Depailler !
Au Good year 300 : Première course du Championnat du monde groupe 6 1976 sur le circuit du Nürburgring . Jean Pierre Jabouille et son compagnon d’écurie s’accrochent dès le départ de l’épreuve à la suite d’une fâcheuse mésentente…
Précision importante : pilotes indemnes.
PS
Photo : DR
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Parade à Syracuse
Grand Prix F1 de Syracuse, Sicile, 1er avril ou 21 mai 1967 ?
Certaines courses se distinguent par leur caractère atypique. Elles ont lieu sur des circuits mythiques, dans des cadres légendaires, elles rassemblent le gotha des pilotes, des constructeurs, sont le théâtre d'un enjeu crucial, n’eurent lieu que lors d’une seule édition…Ou se signalent par une participation squelettique. Cadre exotique, maigre plateau, ultime édition en 1967, le Grand Prix de Syracuse fait partie des courses à oublier. Des attributs qui en font une curiosité, un ersatz de Grand Prix …« J’aimerais tant voir… ».
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Mano a mano - à relire
Sur le podium les deux pilotes européens quittés par leur collègue néo-zélandais prolongent la cérémonie. Ils décompressent après un âpre combat. Celui-ci a duré tout au long des cinquante tours que comptait la course.
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Comment perdre bêtement un Grand Prix
Vingt-quatre voitures vont s’aligner sur la grille de départ après ce tour de formation. Le pilote détenteur de la pole va immobiliser sa monoplace sur la gauche de la piste. Il lance un regard furtif sur la ligne droite où les volutes de chaleur troublent la vision au dessus de la piste. A peine tourne-t-il la tête vers la gauche pour surveiller le préposé au drapeau sur son perchoir que ce dernier l’abaisse. La meute s’élance...