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Le roman de José Saramago plonge le lecteur dans l'univers d'une catastrophe pandémique où l'humanité est atteinte brutalement de cécité. Une seule femme échappe à ce fléau... Cette fiction (1995) a une portée prémonitoire au regard des évènements récents.
Faut-il devenir aveugle pour voir l'essentiel des choses? Démonstration faite par l'auteur portugais dont le récit nous porte vers l'espoir.
L'aveuglement / 1997 Edition française Seuil et Points 2020 / José Saramago - Prix Nobel de littérature 1998 /
Toujours à l’aise à Monza, mon pilote préféré partira en première ligne au côté de Jacky Ickx. Il manque la pole pour 4/100 de seconde, jolie perf, je me surprends à espérer le meilleur.
Au matin du Grand Prix, mes doigts restent croisés inexplicablement ! Toujours un peu fébrile au départ, Amon passe cinquième à l’issue du premier tour et remonte avec application pour prendre la troisième position au 17è tour derrière Ickx et Fittipaldi, position qu’il stabilise jusqu’au 37è. Les trois pilotes ont semé le reste du peloton. Mes doigts sont toujours croisés ! Hélas ça ne servira à rien, ses freins sont à l’agonie et il doit rentrer au stand probablement avec une grosse boule dans la gorge. C’est un pilote maudit…Après l’abandon malheureux de Ickx sur panne de batterie, Fittipaldi confirme, sa victoire lui assure définitivement le titre de Champion du monde.
Beaucoup de choses sont résumées dans ce qualificatif. Un pilote selon Henri Pescarolo d’une « droiture absolue », un homme « fidèle et humble ». « Il nous faisait penser à Jim Clark, un styliste, il avait toujours les bonnes trajectoires, n’était jamais en dérive », « il aurait mérité de monter en Formule un » … Tout est dit par le camarade de course de Jean Pierre Jaussaud.
Quatre jours et quatre nuits sans répit pour rejoindre Sofia en Bulgarie et revenir à Liège, en franchissant les cols les plus redoutables des Alpes et des Dolomites, sur des routes qui variaient entre les secteurs rapides de l’Allemagne jusqu’aux cols montagnards sinueux, départementales plus ou moins entretenues et chemins caillouteux.
Ils étaient nombreux à se lancer dans cette formidable aventure. Mais peu parvenaient à tenir les délais, beaucoup renonçaient. Epuisement, accident ou panne mécanique était le lot de nombreux concurrents lancés dans ce marathon.
Les glorieux rescapés, parfois huit ou dix sur une centaine de partants, étaient accueillis en héros à Spa.
Ils venaient du monde entier pour relever cet impitoyable défi à bord d’une berline à peine modifiée, d’une rutilante GT minutieusement préparée ou d’un prototype improbable.
Tous n’avaient qu’une idée : tenter d’inscrire leur nom au palmarès de ce monument du sport automobile que les Anglais appelaient avec respect « The Liège ».
25 Juillet 1921, la France renoue avec son Grand Prix, le premier depuis sept ans. Il marque le retour tant attendu à la normalité après le désastre de la Grande Guerre. Cette course est un événement sportif automobile international de premier plan.
La Porsche 917 a été élue « voiture de course du vingtième siècle », belle carte de visite ! Cela vaut bien de s’attarder sur quelques valeureux spécimens !...
En 1968 Porsche fait courir en endurance son prototype 3 litres 908 version capot arrière court ou long pour les circuits rapides type Le Mans. Homogène, propulsée par un moteur V8 puissant dont la plage d’utilisation satisfait tous ses pilotes, cette auto remporte des courses. Pour Porsche le problème vient du fait que le championnat du monde des marques admet aussi les voitures type sport pouvant accueillir des moteurs de 5000cm3(5 litres) de cylindrée. Parmi elles on compte les Lola T70 et les Ford GT 40...
Par un frais matin printanier de 2006, deux recrues d'une base aérienne observent un engin bizarre. Il semblerait qu'il s'agisse d'une automobile campée sur ses quatre roues...